• Salut les humains,

    Chapitre 7 : espace détente

    Aujourd'hui est un jour merveilleux, comme les autres me direz-vous. Mais aujourd'hui, le soleil revient. Cela me rend tout joyeux. Tout content, je m'amuse avec mes ficelles, mes balles, puis je grimpe dans mes arbres à chats que mes esclaves m'ont honorifiquement offerts. J'ai fait une mini sieste avant d'aller courir en faisant les 100 pattes. Vous connaissez les 100 pattes ? c'est quand avec ma copine, la chatte bête noire de mon royaume, on s'amuse en courant d'une pièce à l'autre comme des dingues. On se course l'un après l'autre. Elle me course après, je fais pareil, et on fait ça une bonne dizaine de fois. Généralement, je sais qu'on est vu par nos parents, mais cela nous amuse, et je pense aussi qu'ils en sont contents.

    Une fois ce jeu passé, on se repose chacun de notre côté. Moi, je me prélasse sur un coin ensoleillé, sur un morceau de carrelage. Il y a un rayon de soleil qui caresse mes poils, j'adore. Cela me donne une chaleur qui me remplit encore plus de bonheur. Je suis un chat heureux. Quant à ma copine, elle va ailleurs se reposer elle aussi.

    Une fois reposé sur ce sol quelques instants, je me décide à aller marcher pour grimper sur l'une de mes chaises confortables. J'y fais un somme de quelques heures car j'en ai bien besoin avec tout le sport que j'ai fait avant. Je vais rêver d'une bonne gamelle de croquettes et imaginez comment je pourrai m'en prendre à ma copine. Mais au préalable, je me nettoie car j'ai accumulé de la poussière avec mon précédent exploit. Je me lave durant quelques minutes en faisant quelques pauses pour écouter ce qui m'entoure. Mais heureusement, c'est calme, comme j'aime.

    Une fois ce somme effectué, je me remplis le ventre avec de bonnes croquettes. Hum...je vous pouvoir réfléchir à ma prochaine course. Qui fera quoi, je dois étudier la manœuvre pour mon équipage : ma copine et moi. 


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  • Salut les humains,

    Chapitre 6 : mes sorties

    Je vous avais dit que je vous dirai pour quand je sors. Quand je sors, il fait toujours du soleil dehors. Et c'est en me mettant une corde avec un harnais que mes parents me laissent sortir. La première fois qu'ils m'ont mis ça, je suis restée couché sur un côté pour leur faire comprendre que cela ne m'intéresse pas. J'ai envie de me promener tranquille sans harnais ni corde. Ils ne comprennent pas ces humains, pffffff !!! Mais j'ai envie de sortir moi alors j'accepte qu'ils me mettent cela pour profiter de l'air provenant de l'extérieur. J'adore renifler les odeurs des fleurs, de la terre, des arbres. Oh my god ! Un arbre, il m'intéresse, autant grimper dedans ! Mais avant je vais renifler la terre pour voir où je peux déposer ma semence liquide. Je fouine un peu partout et une fois que j'ai bien marché, alors j'essaie de grimper dans les arbres. Je me dis qu'ainsi, je prendrai de la hauteur et à entendre les oiseaux, je pourrai peut-être en chasser un. Ils me narguent en chantant ces êtres à plumes. Bref, impossible de les attraper.

    J'ai pourtant essayer, en grimpant dans un arbre mais papa m'a alors appelé pour que je descende. Je n'ai pas envie de descendre et je lui fais comprendre en mettant bien mes griffes plantées dans l'arbre. Il insiste et essaye de m'attraper et finit par réussir assez rapidement. Il me prend dans les bras et m'embrasse. S'il savait que je sais que c'est super de grimper aux arbres. Il me félicite là non ? du coup, quand j'ai l'occasion j'essaie de grimper de nouveau dans l'arbre mais ...y'a toujours maman qui m'en empêche. Je ne sais pas trop pourquoi. 

    J'écoute ma maman car je sais qu'elle est gentille avec moi et que quand je rentrerai j'aurai une ration de croquettes. Je me roule alors à terre pour faire mon beau et faire comprendre à mes parents que j'adore ces sorties. Ce sont toujours des sorties familiales avec un bruit d'oiseaux et ces odeurs merveilleuses de la nature. 


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  • Coucou les humains,

    Chapitre 5 : mes parents, mes esclaves

    Mes parents sont deux : une femme et un homme. Je les nomme esclave à la lecture mais en réalité c'est maman et papa. Tous les jours, ils font de moi un être heureux. Je les aime. Si je les surnomme mes esclaves, c'est en terme amical et affectueux. Quand ils ne sont pas là, ils me manquent et bien souvent, je préfère dormir pour oublier leurs absences. 

    Chaque jour, je me mets aux pieds de maman, sur le lit. La squatteuse, dont je vous ai parlé au chapitre précédent, n'a pas mon autorisation pour aller à cet endroit. Bien souvent, elle attend en bas du lit. Le matin, vers 07 h en général, je me positionne vers la tête de maman pour qu'elle me caresse. J'adore quand elle passe sa main sur mon corps et ma tête. Je lui fais comprendre qu'il faut se réveiller, qu'il est temps de remplir ma gamelle. En général, elle se met debout assez rapidement et s'exécute. 

    En plus, maman me dit souvent qu'elle m'aime, et si elle savait que c'est réciproque. J'imagine qu'elle le comprend. En tous les cas, quand arrive le moment des croquettes, je me mets dans la cuisine et je sais où elles sont où. Je me positionne devant et j'attends que maman me les donne en lui jetant un regard tout mignon, un peu comme dans le chat potté vous savez. Je sais qu'elle craque quand je lui fais ce regard et je miaule en même temps pour lui dire d'aller plus vite. J'aime bien taquiner un peu ma maman. Qui aime bien, chat miaule bien !

    Ensuite, le repas du matin fait, je vais jouer avec ma sœur, la squatteuse. Puis au bout de plusieurs minutes, quand nous sommes tous les deux fatigués, on dort chacun de notre côté. 

    Dans la journée, papa aime bien changer notre litière, maman parfois. Et moi, j'aime bien aller le voir pour vérifier pourquoi il prend nos excréments ainsi. Je ne pige pas trop. Ils ont comme une espèce de pelle trouée, et papa ou maman s'en sert pour retirer nos pipis et nos cacas. Une fois terminée, ils mettent ça dans une poubelle et l'enterre dans un grand coffre gris. J'ignore pourquoi ils font ça mais bon, le principal, c'est d'avoir nos toilettes propres. On a chacun la nôtre, celle de ma sœur et la mienne. 

    Sinon, aussi, pour vous dire, quand je le décide, et que l'un d'eux est présent, je me frotte sur papa ou maman et j'obtiens alors des caresses de leur part. J'adore ces moments.

    Papa et maman font souvent ce que j'aime quand je l'ai décidé. Si ce ne sont pas des esclaves, alors là, expliquez-moi !

    Je leur demande aussi à sortir parfois mais ça, c'est autre chose. Je vous le raconterai une prochaine fois, à vous dire les choses ainsi, ça m'épuise, j'ai besoin de faire une sieste là !


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  • Salut les humains,

    Chapitre 4 : l'intrus

    Vous vous souvenez de l'intrus dont je vous ai parlé la dernière fois ? Cela m'a mis en colère. Du coup, quand j'ai senti son odeur, je suis direct aller voir sous la porte. Et celle-ci montrait le bout de sa patte que je voyais sous la porte dépasser un peu. J'essayais tant bien que mal de l'attraper mais impossible. Dès que je tentai de lui donner un coup de patte sur la sienne, elle reculait. Cela a duré bien 3 jours. 

    Habitué alors à sa présence, à son odeur, je me suis calmé. Mais hors de question de refaire la fête à mes esclaves durant cette petite période. Au bout des 3 jours, mes parents m'ont montré cette nouvelle arrivante. J'aurai pu l'appeler au départ l'intruse. Mais je me suis habitué à elle. Elle est plutôt marrante avec sa fourrure noire, et plutôt sympathique en finalité. Cependant, je reste méfiant. Hors de question qu'elle me vole mes endroits de couchage préférés. A savoir, tous mes endroits. Je veux bien lui laisser quelques petites places mais c'est moi qui décide. N'oublions pas qui est le roi de ce château quand même !!!

    Au début, l'intruse osait, sans me demander la permission, aller sur mes arbres à chat. Fou de colère, je te l'ai choppé bien comme il faut à une patte et bien mordu. Elle a crié. Faut qu'elle comprenne qu'elle doit me demander avant d'aller quelque part. Elle n'est pas chez elle. Elle ne va pas oser prendre ses aises ainsi. Pour qui elle se prend. Non non non !!! Elle passe par moi pour savoir où aller. Elle vient d'arriver, faut qu'elle apprenne les bases. Si elle ne passe pas par le roi, je la mords, c'est sûr. 

    Au bout d'un certain temps, à force de la mordre ou lui courir après, elle a compris qui était enfin le maître des lieux. Je l'ai alors accepté sur mon territoire. Et je lui ai même fait la toilette en guise d'amitié. 

    Je n'aime pas qu'on me provoque. Je suis très sociable, mais mon territoire m'appartient. 

    Prochain épisode, je vous expliquerai un peu pourquoi mes esclaves se nomment ainsi. Vous comprendrez mieux. A bientôt et en attendant, rien de mieux qu'une belle gamelle de croquettes pleine. Hummmm


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  • Salut les humains,

    Chapitre 3 : Sur mes terres, mon territoire !

    Je vous ai dit que j'étais un roi. Dans mon royaume, un jour, alors que mes esclaves étaient parti de mon château toute une matinée, je les revois. Comme à mon habitude, quand ils rentrent, je vais à leur pied pour leur faire une fête. Trop heureux de les revoir. Je n'aime pas être seul. Vous allez me dire que j'ai un peu le comportement d'un chien, d'accord, je vous l'accorde. Mais en mieux ! 

    Bref, là, je remarque une odeur suspecte. Et un truc dans une mini prison mais maman file au dernier étage pour déposer cette mini prison. Un petit détail sur cet objet, je vous raconte l'anecdote. Cette petite prison a des barreaux gris avec du plastique. C'est à peine plus grand que moi. Ils m'ont déjà mis dedans avec papa pour aller voir un de leur géant quelques fois, rarement car je suis très sage. Et ce géant m'a regardé partout, m'a touché partout et je n'ai pas aimé. En plus, il y avait des odeurs de chiens, de quoi m'agacer. Mais bon, maman me parlait donc ça me rassurait et du coup, j'étais calme. J'avais hâte de rentrer à la maison quand j'allais voir ce géant inconnu. Je les ai déjà entendu dire le mot "vétérinaire" pour aller voir ce dernier. 

    Pour en revenir à ce qui était dans la petite prison : maman l'avait mise tout en haut, dans une grande pièce du château. Et ...non mais...ce n'est pas ce que je crois ???? ILS FONT QUOI LA ??? C'EST QUI CETTE DEMOISELLE ??? JE LA SENS A TRAVERS LE BAS DE LA PORTE. Ah mais quelle horreur ! Un intrus du sexe opposé sur mon territoire. Ça va barder  

     


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